Et si… ce n’était pas une question de volonté, de méthode ou de compréhension ?

Le corps est ce guide silencieux qui continue à fonctionner en mode survie, même lorsque ton esprit sait.

Si ton corps ne t’invite plus au changement, c’est que tu t’es déconnecté du vivant. Aucune prise de conscience, aucun souhait de mieux faire n’y suffira. Oui, ton corps à mis en place des stratégies de survie pour te protéger de situations toxiques, de traumas non digérés ou de modèles parentaux dysfonctionnels.

Tu as trouvé un confort relatif dans l’hyper-contrôle, l’hyper-adaptation, tu es devenu(e) la championne de l’effacement ou le maître de l’esquive et cela a marché… un temps.

Mais à quel prix ?

Aujourd’hui, ces stratégies t’enferment, te réduisent, te figent, t’épuisent.

Comment je t’accompagne, ici … autrement ?

1. Une présence incarnée
   Parce que ressentir est plus porteur que comprendre. Je t’invite à expérimenter un état de présence dans ton corps — ici et maintenant — pour te reconnecter à ta stabilité intérieure et accueillir ce qui est fragile ou bouillonnant sans t’effondrer.
2. L’intelligence du corps
   Ton corps sait. Il perçoit, anticipe, mémorise. Grâce à la proprioception, l’intérocéption — ces perceptions intérieures souvent ignorées — tu découvres que ton corps est une source d’informations, de signaux d’alerte et pas un ennemi à maîtriser.
3. L’IFS comme boussole
   À l’intérieur de toi, des parts émotionnelles vivent, réagissent et souvent interfèrent. L’approche Internal Family Systems (IFS) aide à créer une relation avec ces parts, à en accueillir les intentions, à poser une présence sécurisante, jusqu’à faire place à une coopération intérieure, plutôt que des tensions anciennes à force d’efforts personnels.

Ce que tu vas commencer à vivre ici :

• Calmer le système nerveux, non par la négation de tes émotions, mais à partir d’une écoute profonde et d’une présence douce et sécurisante.
• Ressentir sans t’effondrer, tu sens, tu navigues, tu choisis.
• Dialoguer autrement avec toi, reconnaître les parts (la colère, la honte, l’enfant intérieur) qui réclament de l’attention, sans jugement.
• Te reconnecter au vivant en toi, à ta liberté intérieure, celle qui vient du corps, pas du mental.

Ils varient selon ton engagement, ton histoire, ta situation. Certains sont immédiats et visibles par tous, d’autres sont invisibles pour les autres, quelques uns demandent plus de temps, de la persévérance et de la détermination.

Mais une seule chose est certaine : Je serai là, avec toi, pour traverser tout ce que tu as à traverser.

Je te propose d’entrer en lien avec ce qui vit en toi, même ce qui fait peur, même ce qui dérange, d’aller à la rencontre de ces parts blessées, exilées, méconnues qui ne demandent qu’à être considérées, écoutées, reconnues.

Je t’accompagne pour les rencontrer ensemble autrement, avec douceur, avec profondeur, avec présence car c’est dans l’écoute intime de ce qui est là que s’ouvre véritablement l’espace de la transformation.

Ce à quoi tu peux t’attendre, c’est :

• Retrouver de la stabilité intérieure même quand ton quotidien est rempli de sollicitations, de colères, de pleurs ou de fatigue. Pouvoir être présent·e à ton enfant, à ton conjoint, à tes collègues sans t’oublier toi.

• Vivre des relations familiales plus apaisées en comprenant ce qui t’appartient et ce qui vient d’héritages anciens : injonctions, loyautés invisibles, colères ou silences transmis de génération en génération.

• Traverser une épreuve liée à la maladie (la tienne ou celle d’un proche) avec plus de douceur, en apprenant à reconnaître ce qui se vit en toi : la peur, la tristesse, la colère, mais aussi la force et la résilience qui émergent malgré tout.

• Accueillir tes émotions sans te laisser submerger, pour passer de la survie à une présence plus consciente, même dans les moments de crise.

• Sentir que tu n’as pas à porter seul·e, que des parts en toi peuvent se déposer, être entendues, et que tu peux retrouver une respiration plus large.

• Redécouvrir une liberté intérieure qui ne dépend pas des circonstances extérieures : ni des contraintes de ton rôle de parent, ni des blessures de ton histoire, ni de l’incertitude liée à la maladie.